SPLENDEURS ET MISÈRES DU MONDE CONTEMPORAIN
Fidèle à son ambition de donner à voir le monde contemporain dans sa diversité et son étrangeté, La Règle du jeu propose ici un numéro qui, à l’image de l’œuvre Acidquiat figurant sur sa couverture, aspire à dépeindre les splendeurs et les misères de la modernité.
Les réseaux sociaux sont-ils vraiment un lieu de socialisation ? Permettent-ils de rompre les distances qui séparent le « moi » de son prochain ? Sont-ils un incubateur d’amitiés ? Faut-il, en somme, se fier à leurs faux-semblants d’agora universelle ? Ou, au contraire, les tenir pour une dystopie réalisée ?
Comment la « Génération Tinder » réinvente-t-elle l’amour et le désir ? Une rencontre peut-elle faire l’objet d’une application digitale ? Et, si oui, quels sont les effets, vertueux et contreproductifs, d’un tel phénomène ?
La dérision contemporaine n’est-elle pas le dernier masque endossé par l’esprit de sérieux ? Et les « humoristes » ses derniers avatars ? Comment retrouver, en ce cas, la possibilité du rire ?
Comment décrire, enfin, l’empreinte laissée dans notre société par l’absence de Dieu ?
Ce n’est pas un hasard, en somme, si le numéro 74 de La Règle du jeu s’ouvre sur un dossier rendant hommage au rocker Nicolas Ker – figure qui, à elle seule, cristallisait bien des éclats, bien des énigmes de la modernité.
Mais aussi :
Fidèle à son ambition de donner à voir le monde contemporain dans sa diversité et son étrangeté, La Règle du jeu propose ici un numéro qui, à l’image de l’œuvre Acidquiat figurant sur sa couverture, aspire à dépeindre les splendeurs et les misères de la modernité.
Les réseaux sociaux sont-ils vraiment un lieu de socialisation ? Permettent-ils de rompre les distances qui séparent le « moi » de son prochain ? Sont-ils un incubateur d’amitiés ? Faut-il, en somme, se fier à leurs faux-semblants d’agora universelle ? Ou, au contraire, les tenir pour une dystopie réalisée ?
Comment la « Génération Tinder » réinvente-t-elle l’amour et le désir ? Une rencontre peut-elle faire l’objet d’une application digitale ? Et, si oui, quels sont les effets, vertueux et contreproductifs, d’un tel phénomène ?
La dérision contemporaine n’est-elle pas le dernier masque endossé par l’esprit de sérieux ? Et les « humoristes » ses derniers avatars ? Comment retrouver, en ce cas, la possibilité du rire ?
Comment décrire, enfin, l’empreinte laissée dans notre société par l’absence de Dieu ?
Ce n’est pas un hasard, en somme, si le numéro 74 de La Règle du jeu s’ouvre sur un dossier rendant hommage au rocker Nicolas Ker – figure qui, à elle seule, cristallisait bien des éclats, bien des énigmes de la modernité.
Mais aussi :
- « Souvenirs de Nicolas Ker » : un dossier où Bernard-Henri Lévy, Arielle Dombasle, Florine Delcourt et Patrick Mimouni saluent la mémoire de l’artiste défunt.
- « Sartre et Simone de Beauvoir, chambre à part » : un texte de Julie Lautier sur les années que passèrent les deux écrivains à l’hôtel Lousiane
- Un texte de Gilles Hertzog sur le rapport que Turner et Manet entretinrent avec Venise.
- Un dialogue, pour le moins étonnant, entre Marie S’Infiltre et la rédaction de La Règle du jeu.
- Vieux Couples, un roman-nouvelle inédit de Camille Cabestan, l’auteur anonyme de notre revue.
- « De quoi Charlus est-il le nom ? » : un article d’Avery Colobert proposant une nouvelle hypothèse de lecture à propos de l’onomastique proustienne.
- « Quelques philosophes » : un dossier photographique de Bruno de Monès, qui revient sur ses rencontres avec Foucault, Deleuze ou encore Derrida.
- « La Fontaine et l’amour » : un article de Vincent Roy
- Des textes inédits de Baptiste Rossi et Florent Zemmouche