Caroline chez les bourgeois est la suite de l'aventure familiale des Monfreid, dans le droit fil de La vocation de Caroline. Sur fond de guerre franco-prussienne (1870), le petit George grandit, balloté de pensions en internats, entre un père absent et une mère distante. A Paris, il fréquente les ateliers, croise Verlaine, Degas, Maillol... Lors de vacances dans le Sud, il fait la connaissance de celle qui sera la mère d'Henry, Amélie, une jeune femme envoûtante et fragile, déjà durement éprouvée par la vie. Fresque d'une époque placée sous le signe de l'art et radiographie féroce du XIXème siècle finissant.