Marc Bernard met dans le mot " vacances " beaucoup plus de choses que nous ne le faisons d'habitude. Pour lui, les " vacances " ce n'est pas seulement le loisir, le repos, la trêve des soucis, le dépaysement, la présence de la nature, c'est aussi et surtout la liberté et le seul mode de vie acceptable.
Aussi, évoquant à travers les pays et les années, toutes ses vacances, Marc Bernard est-il amené à faire le bilan des moments privilégiés où il a vécu pleinement c'est-à-dire libre ; moments qui jalonnent une existence, la définissent et, peut-être, la justifient.
" En écrivant ce livre, dit-il, jamais je n'ai été plus fidèle à moi-même, du moins en intention, ni mieux d'accord avec mon go-t le plus profond ".
Vacances, à cause de cela, est un des livres essentiels de son auteur. Il nous propose, face à tant d'autres, une morale fondée sur la liberté. Celle-ci ne doit rien au hasard et à la fortune. C'est une liberté choisie, fondée sur le refus, refus de parvenir, de s'enrichir, de " s'engager ".
Vacances qui semble une suite à Pareil à des enfants, Prix Goncourt de naguère, est pourtant un des livres les plus frais, les plus prenants, de toute une oeuvre ensoleillée.
Ce n'est pas un livre sans ombres. Marc Bernard est trop sincère pour avoir un parti-pris, f-t-il celui de l'optimisme. On devine à travers chaque récit les étapes d'une vie difficile. Orphelin, soldat, jeune ouvrier, perdu dans la foule, le drame du narrateur côtoie et rejoint celui d'un milieu ou d'une époque.
Mais quels que soient les pays, les saisons, les climats largement variés où nous entraînent ces Vacances, des neiges de la Silésie et de la Suisse, aux cieux éclatants du Maroc et de l'Espagne ; de la paix de la campagne limousine à la Méditerranée sillonnée sur un bateau à voiles, il s'agit toujours de coins préservés de notre univers.
Marc Bernard qui y apporte la sienne propre, découvre la liberté chez les êtres simples ou singuliers qu'il rencontre.
Un itinéraire des paradis perdus, un cercle d'amitié, une leçon de courage et de confiance, c'est tout cela que Marc Bernard a su faire tenir dans ce mot familier de Vacances auquel, sans en retirer le charme, il donne un sens inattendu.
Aussi, évoquant à travers les pays et les années, toutes ses vacances, Marc Bernard est-il amené à faire le bilan des moments privilégiés où il a vécu pleinement c'est-à-dire libre ; moments qui jalonnent une existence, la définissent et, peut-être, la justifient.
" En écrivant ce livre, dit-il, jamais je n'ai été plus fidèle à moi-même, du moins en intention, ni mieux d'accord avec mon go-t le plus profond ".
Vacances, à cause de cela, est un des livres essentiels de son auteur. Il nous propose, face à tant d'autres, une morale fondée sur la liberté. Celle-ci ne doit rien au hasard et à la fortune. C'est une liberté choisie, fondée sur le refus, refus de parvenir, de s'enrichir, de " s'engager ".
Vacances qui semble une suite à Pareil à des enfants, Prix Goncourt de naguère, est pourtant un des livres les plus frais, les plus prenants, de toute une oeuvre ensoleillée.
Ce n'est pas un livre sans ombres. Marc Bernard est trop sincère pour avoir un parti-pris, f-t-il celui de l'optimisme. On devine à travers chaque récit les étapes d'une vie difficile. Orphelin, soldat, jeune ouvrier, perdu dans la foule, le drame du narrateur côtoie et rejoint celui d'un milieu ou d'une époque.
Mais quels que soient les pays, les saisons, les climats largement variés où nous entraînent ces Vacances, des neiges de la Silésie et de la Suisse, aux cieux éclatants du Maroc et de l'Espagne ; de la paix de la campagne limousine à la Méditerranée sillonnée sur un bateau à voiles, il s'agit toujours de coins préservés de notre univers.
Marc Bernard qui y apporte la sienne propre, découvre la liberté chez les êtres simples ou singuliers qu'il rencontre.
Un itinéraire des paradis perdus, un cercle d'amitié, une leçon de courage et de confiance, c'est tout cela que Marc Bernard a su faire tenir dans ce mot familier de Vacances auquel, sans en retirer le charme, il donne un sens inattendu.