les hommes pleurent à la salle de sport
déclenchent le sèche-mains pour couvrir
le bruit de leurs sanglots, leurs cœurs sont devenus trop lourds
pour leurs torses, leurs torses sont devenus trop larges
pour leurs tee-shirts, ils s’habillent comme des gamins
qui auraient oublié d’apporter leur tenue pour l’entraînement
Vingt-cinq poèmes pour dire et raconter le corps des hommes, leurs désirs, leur jouissance et leur solitude. Andrew McMillan les observe dans leur intimité, en famille ou encore dans des bars interlopes, et les croque avec justesse dans une langue parfois crue, souvent tendre.
Une bouleversante ode au corps masculin qui porte un regard poétique sur l’homme moderne, sa sexualité et sa quête du bonheur.
Les vers d’Andrew McMillan sont admirablement transposés en français par l’écrivain Philippe Besson, qui livre ici sa toute première traduction.
déclenchent le sèche-mains pour couvrir
le bruit de leurs sanglots, leurs cœurs sont devenus trop lourds
pour leurs torses, leurs torses sont devenus trop larges
pour leurs tee-shirts, ils s’habillent comme des gamins
qui auraient oublié d’apporter leur tenue pour l’entraînement
Vingt-cinq poèmes pour dire et raconter le corps des hommes, leurs désirs, leur jouissance et leur solitude. Andrew McMillan les observe dans leur intimité, en famille ou encore dans des bars interlopes, et les croque avec justesse dans une langue parfois crue, souvent tendre.
Une bouleversante ode au corps masculin qui porte un regard poétique sur l’homme moderne, sa sexualité et sa quête du bonheur.
Les vers d’Andrew McMillan sont admirablement transposés en français par l’écrivain Philippe Besson, qui livre ici sa toute première traduction.