Avec Martha, notre promenade préférée, c’était toujours celle du matin.
On marchait vers la mer pour attraper les premiers rayons du soleil.
Souvent, on s’arrêtait à la boulangerie pour acheter une pâtisserie.
On la mangeait ensemble sur le chemin du retour.
En hiver, Martha faisait tomber plein de miettes dans le
creux de son écharpe.
En été, elles tombaient par terre.
On pouvait nous suivre à la trace, juste en regardant les petits morceaux de gâteaux sur les pavés.
Comme deux Petits Poucets des villes.
J’aimerais qu’un chemin me ramène à hier matin.
Là où les miettes tombaient encore par terre...
Dans Premier jour, Morgane de Cadier invitait à renouer avec l’innocence et la curiosité des premiers pas, à travers les yeux d’un personnage au seuil de l’existence.
Avec Martha, elle nous convie à un voyage d’une beauté poignante au fil de la vie qui continue malgré la disparition d’un être aimé, résolument tourné vers le futur, riche des moments passés et de l’amour plus fort que la mort.
On marchait vers la mer pour attraper les premiers rayons du soleil.
Souvent, on s’arrêtait à la boulangerie pour acheter une pâtisserie.
On la mangeait ensemble sur le chemin du retour.
En hiver, Martha faisait tomber plein de miettes dans le
creux de son écharpe.
En été, elles tombaient par terre.
On pouvait nous suivre à la trace, juste en regardant les petits morceaux de gâteaux sur les pavés.
Comme deux Petits Poucets des villes.
J’aimerais qu’un chemin me ramène à hier matin.
Là où les miettes tombaient encore par terre...
Dans Premier jour, Morgane de Cadier invitait à renouer avec l’innocence et la curiosité des premiers pas, à travers les yeux d’un personnage au seuil de l’existence.
Avec Martha, elle nous convie à un voyage d’une beauté poignante au fil de la vie qui continue malgré la disparition d’un être aimé, résolument tourné vers le futur, riche des moments passés et de l’amour plus fort que la mort.
