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Alerte rouge en Méditerranée

Jean-François Sers

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Alerte en Méditerranée : un renfort naval vient doubler la puissance de feu de l'escadre soviétique, l'Eskadra. Aussitôt à Toulon le porte-avions Clemenceau et deux escorteurs prennent la mer. Pour les 2 018 hommes de son équipage, recommence une fois encore le "grand jeu", cet état de non-guerre où sont, en permanence, plongées les forces armées et qui, en Méditerranée, a l'apparence tantôt d'une poursuite inlassable, tantôt d'une veille incessante à l'affût d'un ennemi qui n'en est pas vraiment un, cette Eskadra soviétique qui, sans cesse, se dérobe à la limite des brumes et de l'horizon. Et puis, brutalement, la partie de cache-cache bascule, devient réalité, quand l'Eskadra franchit le 40e parallèle, sa limite d'action tolérable. C'est l'alerte rouge. Désormais, le sang-froid des hommes compte autant que la technologie terrifiante de leurs engins de mort. Les missions de reconnaissance cessent d'être des exercices, même si ce n'est pas - pas encore - la guerre, la vraie. Mais pour combien de temps ? {Alerte rouge en Méditerranée} est un document vrai, même si ses héros sont fictifs et l'incident final inventé. Au cours de la dernière décennie, plusieurs alertes semblables, aussi graves, ont eu lieu.